La reconciliation entre la vie et la mort
La mort est cruelle. Elle est, pour bien des êtres en fin de vie, une délivrance de souffrances physiques et d'esprit abominables, là où le deuil est accompagnement et parcours de compréhension, ce qui n'est pas acceptation ! Ici intervient l'âge, les circonstances et l'implication de l'affection, de considération, aussi entre le décès d'un enfant et la fin de vie du grand âge. Tel est l'itinéraire du deuil en graduation d'acuité !
Tenter de combler le vide béant de la présence de fraternité, de solidarité, d'affection et d'attachement... ce qui n'est pas parole mais pour l'essentiel langage du cœur et de l'âme. En effet, il s'agit bien de l'application avec force des paroles du Christ Jésus : « Aimez-vous les uns les autres », face à leur souffrance, de solidarité.
Ici cette responsabilité communautaire de tout être et d'engagement de l'institué chrétien de Pastorale d'obsèques et de plus Frère de Charité et de Fraternité :
Tel est l'accompagnement du deuil - en implication d'affection, soi-même - un être décédé est une sœur ou un frère !