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Pour Colette Bonnivard, 35 ans, les choses de la vie ont un nom : le terrorisme, une date : le 17 septembre 1986, et une adresse : la rue de Rennes. Pour une banale histoire de feu pour piétons, passé au rouge, elle s’est trouvée immobilisée du mauvais côté du trottoir, à trois mètres d’une poubelle piégée… On l’a relevée parmi les six morts et les cinquante blessés. Le New York Times la prend pour symbole, en première page. Évacuée avec 4 de tension, elle a vécu près de deux semaines dans la crainte que les médecins amputent sa jambe droite, à demi tranchée verticalement. Huit mois plus tard, elle remarche… Son témoignage est à la fois un cri de douleur, de révolte, mais aussi d’espoir. Révolte contre la lâcheté anonyme des terroristes mutilant, au hasard, d’innocentes victimes. Espoir pour ceux qui souffrent et ont la volonté de lutter malgré le handicap de la blessure physique. Colette rêvait d’une vie en rose et se trouve plongée dans la pire des séries noires. Mais, derrière son drame, on retrouve sa gaieté naturelle, qui lui donne la force de revivre.