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À partir de l’énoncé négatif : il n’y a pas de métalangage, Mireille Andrès note qu’il ne peut s’entendre que couplé à l’affirmation : il y a du langage, voire il n’y a que du langage, et que cette négation initiale n’est donc pas donnée comme moment fixe, encore moins comme vérité fixée épistémologiquement, mais que seule son énonciation a un sens : le sens de venir interférer dans une dualité vrai/faux en produisant, dans son énonciation même un troisième terme, le sujet de l’énonciation désigné comme sujet de l’inconscient. De là s’impose l’idée dominante d’un mouvement, d’un mouvement ternaire, d’une « boucle à trois termes » qui ne saurait contenir en elle-même ni le concept de langue ni celui de métalangue, mais fait travailler le couple d’opposition en le mettant en rapport par l’un des termes au moins avec une autre boucle à trois termes, par exemple en l’occurrence : langage/métalangage/sujet renvoyant au ternaire sujet/savoir/vérité. Exemple où apparaît, comme l’argumente solidement Mireille Andrès, que le fondement épistémologique de ce travail consiste dans la prise en considération de l’énonciation comme acte, acte d’énonciation. Ce qui ne sera pas sans conséquences sur l’analyse de l’acte de pensée d’une part, sur la valeur opératoire du concept comme temps, d’autre part. Ainsi la définition et la mise en jeu du sujet de l’inconscient viennent interférer sur le savoir positif et mettant l’accent sur l’acte de pensée comme ne se réduisant pas à la pensée elle-même ; d’où la question : dans quel espace, dans quel temps peut prendre l’acte de pensée, et comment ? Quant à la valeur opératoire des concepts, elle apparaît dans leur élaboration même, avant tout comme effet du temps de la langue, du mouvement même de l’acte d’énonciation, ce qui amène Mireille Andrès à les saisir avant tout comme espaces intercalaires des relations conceptuelles et, précisément, à les énoncer. Serge Leclaire