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La nueva obra íntima y fascinante del autor de El lápiz del carpintero, donde el amor y la ironía sostienen a pulso el retablo humano. «Las voces bajas es la novela de la vida. Son las voces de los niños, las mujeres que hablan solas, los emigrantes, los muertos, los animales... Las voces de los que no quieren dominar y ds alimentan de palabras y cuentos.» Desde la primera página late algo singular en Las voces bajas. Escrita al modo de una autobiografía, todo parece verdad y todo, imaginación. Es el efecto de una novela de la memoria encendida. El libro arranca en una geografía real donde la mirada de la infancia va descubriendo, con una mezcla de miedo, estupor y maravilla, lo que de extraordinario hay en la existencia de la gente corriente. «No sabemos bien lo que la literatura es, pero sí detectamos la boca de la literatura. Tiene la forma de un rumor. De un murmullo. Puede ser escandalosa, incontinente, enigmática, malhablada, balbuciente. Yo conocí muy pronto esa boca. En aquel momento era, ni más ni menos, la boca de mi madre hablando sola. La crítica ha dicho sobre el autor...«Manuel Rivas es un narrador importante porque es sensible y tiene un oído increíble que, en su ficción, está aliado con una gran integridad.»John Berger «Un autor que sabe cómo introducir la poesía no solo en sus frases, sino también en su manera de ver el mundo.»Raphaëlle Rérolle, Le Monde