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Il y a quelque deux mille ans, dans une bourgade du Proche-Orient, un garçon faisait, jour après jour. le long apprentissage du métier de charpentier. Il l’apprenait de son père, Iosef, « la coterie Iosef », comme on dit dans le langage des compagnons, maintenant ainsi la longue tradition de ceux qui avaient bâti le temple de Jérusalem. Et lui-même allait devenir compagnon. Le partage de la vie commune, celui du pain, celui du langage, dure quelque trente ans. Puis il lui faut un jour renoncer à son beau métier, celui qui par le bois le met en communication avec le monde de la terre qui donne l’arbre, et avec le monde de l’homme qui le travaille. Il range ses outils, il part pour livrer aux hommes une parole qui va le conduire à la mort. Et c’est l’arbre engendré par la terre et façonné par l’homme qui sera le dernier support de sa vie charnelle. Benigno Cacérès A quelques raisons de savoir évoquer l’apprentissage, l’exercice et les traditions du métier qui est le cadre de ce récit. Qu’il suffise de rappeler son premier livre, autobiographique, la Rencontre des hommes. Vingt ans après, c’est encore la rencontre, mais où, parlant d’un autre, il aurait pu reprendre le même titre.