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Faut-il prévoir pour les universités françaises une capacité de 2 millions d'étudiants en l'an 2000 ? Oui, si c'est pour former 2 millions de personnes techniquement et scientifiquement productives, rapidement capables d'innover, d'entreprendre et de créer des emplois. Non s'il doit s'agir de 2 millions de futurs bureaucrates oisifs, prébendiers, rapaces et revendicatifs, pour lesquels la nation se sera crue obligée d'inventer des emplois fictifs, selon un schéma dont bien des pays du tiers monde fournissent désormais de saisissants modèles. Des progrès de l'éducation, on attendait toujours plus de richesse, de démocratie et de bien-être. Or, dans de nombreux pays, le résultat est inverse : montée des totalitarismes, montée de la misère et du chaos. Des bureaucraties - d'intelligentsias ou d'effendias - complotent, détournent les pouvoirs des états, sont irréalistes et violentes, se comportent en pirates sociaux (l'effendi, c'est l'éduqué, le lettré, celui qui sait, par rapport au fellah). Les nations, et surtout les démocraties, sont prises complètement au dépourvu par ces extrémismes de gaspillage et de pillage, dont les auteurs sont issus de leurs propres universités — c'est l'effet Effendia. Pour expliquer ce phénomène, les auteurs font appel aux thèses du courant ethnométhodologique garfinkélien américain. Ils fournissent, notamment, l'esquisse d'un nouveau matérialisme, faisant intervenir la notion de logiciels sociaux, par opposition à celle de faits sociaux. Ils proposent de nouvelles stratégies d'éducation.