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Henri Hartung n’est pas un homme banal. Son nouveau livre, Les Enfants de la promesse, n’est pas, lui non plus, un livre banal. Pour beaucoup de lecteurs, Henri Hartung est d’abord l’homme d’une, rupture : jusqu’en 1968, ils l’ont connu comme l’auteur de L’Unité de l’homme, puis de Pour une éducation permanente. Une sorte de pionnier, en somme, préoccupé plus tôt que les autres de l’équilibre entre l’homme, sa vie personnelle et son travail, apôtre presque solitaire de l’éducation permanente. Et en même temps expert comblé et respecté. Et puis, après Mai 1968, ils l’ont découvert, avec Les Princes du management, un critique féroce des pratiques du patronat français. Le prophète se faisait soudain procureur. Avec Les Enfants de la promesse, le public d’Henri Hartung comprendra ce qu’au-delà des déchirures, il y a de continuité dans l’attitude de l’auteur. En effet, celui qui allait fonder l’I.S.T.H. (Institut des Sciences Techniques Humaines), avait, juste après la guerre de 1939-1945, fait en Asie une rencontre décisive : celle de Shri Ramana Maharshi, le grand sage hindou, dont il a traduit l’œuvre principale en français. Et toute sa vie ultérieure en porte la marque. S’il a soudain, après Mai 1968, planté là honneurs et carrière, c’est qu’il avait mieux à faire : exposer ses idées en toute liberté à ceux qui pouvaient les recevoir et que la rupture du printemps français a rendus plus disponibles, plus ouverts, désireux comme lui de renouveler la pédagogie, de bouleverser les relations « interpersonnelles », diraient les psychosociologues, de confronter les recherches philosophiques occidentales et orientales. Bref, de libérer l’enseigné, l’individu, l’homme. De lui crier que le bonheur est vraiment une idée neuve, et qu’il y a des communautés plus justes que celles qui existent. C’est un peu, si l’on veut, le fruit de Mai qui mûrit. Et son horticulteur est un homme qui ne s’est plus contenté de réussir...