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L’histoire vivante de la création et du développement des premiers syndicats de Cheminots, jusqu’à la grève « de la thune » de 1910. « Durant les vingt années qui vont de 1890 à 1910, Élie Fruit décrit — sans élever le ton, mais avec grande force — ce que les frères Bonnef ont appelé « la vie tragique des travailleurs ». Pour ceux du rail, c’est le temps du patronat de droit divin, des journées de travail de douze à quinze heures, des salaires dérisoires au bas de l’échelle, de la réforme et non de la retraite, comme pour les vieux chevaux dans les régiments de cavalerie... « Sur un autre plan, plus général, se trouvent soulignés nombre de problèmes d’un permanent intérêt : celui du caractère réformiste ou révolutionnaire des luttes, dans la mesure où il est justifié de simplifier ainsi le débat, celui aussi de l’opposition entre l’action syndicaliste, économique et l’action parlementaire, politique et, là encore, on peut se demander s’il n’y aurait pas lieu de parler de complémentarité plutôt que d’opposition, celui enfin — et je suis loin d’épuiser la variété des questions soulevées — de stratégie syndicale, qui doit tenir compte et des majorités — souvent passives — et des affrontements entre les deux minorités patronale et syndicale, dominante et opposante... »