J'avais 20 ans en 1944
Tome 4 et dernier : L'incroyable dénouement
Lors de son expédition en Allemagne pour le STO, après la
permission obtenue au forceps contre la volonté des Nazis, Roger
Martini, alias Santari, rejoint pour deux semaines la liberté en
France...
Il ne retournera pas au Purgatoire, sera « réfractaire », mais
l'Occupation sévissant toujours, il lui faudra se cacher... et
néanmoins survivre...
Puis, 55 ans plus tard, une nouvelle époustouflante remettra tout
en cause...
En plus de quelques documents qui n'ont
pas péri dans les flammes, la saga / récit
authentique de « J'avais 20 ans en 1944 », se
termine sur cet écrit.
L'auteur, Roger Martini, fils de maçon
parisien, en retraite en Périgord, a préféré
rester sur cette partie inattendue de sa vie
qui l'enrichit un peu plus. Non pas en argent
mais en satisfaction morale. Comme la cerise
sur le gâteau. Et c'est tellement gratifiant !