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"Mein Kuba" ist der dritte Band einer Reihe "Meine Welt". Wie schon bei "Mein Vietnam" und "Mein Kirgistan" geht es nicht darum, einen Reiseführer zu schreiben, sondern Geschichten zu erzählen über das, was ich bei einer Reise durch das Land erlebt habe.Ursprünglich sollte das Buch den Untertitel "Mit dem Fahrrad über eine fidele Insel" haben. Aber dieser Titel wäre in zweifacher Hinsicht ein irreführender Etikettenschwindel gewesen. Zum einen hielten sich die Radtouren im begrenzten Rahmen, zum anderen hatte es nicht den Anschein, als seien die Menschen fidel. Vielmehr drängte sich das Gegenteil auf. Unter dem Mäntelchen des Lächelns und der gelegentlichen Höflichkeit zeigte sich eine Gleichgültigkeit, wobei zugleich die Hoffnung keimt, es könnte doch einmal anders - im Sinne von besser - werden.Ob im Sinne von Raul oder im Sinne von Fidel? Oder kommt es ganz anders? Auch dies wäre nicht überraschend auf einer Insel, die spanische Kolonialzeit, Sklaventum, Revolution und ein einschneidendes Wirtschaftsembargo überstanden hat.In Kuba gilt die negative Seite vom Spruch des Wasserglases: Das Glas ist halbleer, nicht halbvoll.So ist es, aber so muss es nicht bleiben.Und was tatsächlich aus diesem Land wird, ist spannend zu beobachten und ein Grund, in zehn bis 15 Jahren wieder dorthin zu fahren.