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« Jean-Yves Goëau-Brissonnière, jeune avocat, SFIO bon teint (...), raconte par le menu et non sans panache comment il fut dépêché à Tunis en juillet 1957, après l’échec d’autres contacts secrets sous Guy Mollet l’année précédente, pour tâter des syndicalistes algériens et des éminences provisoires du FLN sur les chances de pourparlers de paix. (...) Le voici rappelé, brusquement, à Paris et tombant dans un guet-apens sans doute tendu par la DST ! (...) L’incident dévoila le pot aux roses, la presse s’activa, des ministres flageolèrent, les adversaires de Bourgès-Maunoury saisirent l’occasion pour le renverser : la IVe République, divisée contre elle-même, avait une fois encore montré son impuissance à maîtriser le dossier algérien. » Jean-Pierre Rioux, Le Monde