Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Buenos Aires, le 19 octobre 1977 : un groupe de civils armés fait irruption, en pleine nuit, au domicile d’une famille argentine et s’empare de Tomas, 19 ans, étudiant en sciences humaines. Son crime : avoir milité au lycée. Sa punition : l’enfer. Tomas est jeté, les yeux bandés, dans une camionnette qui l’emmène vers le camp : un simple pavillon de banlieue, réquisitionné par les militaires. Ses compagnons : nus, entravés, dans une même cellule, délateurs et dénoncés, également terrifiés par les cagoulards de la « Patota », chargés des interrogatoires. De ceux-là, Tomas dit : « Ils ne marchent pas, ils courent ; ils n’ouvrent pas une porte, ils l’enfoncent ; ils ne parlent pas, ils crient, et, quand on les regarde, ils frappent. » Sa force : n’avoir, dès le premier jour, eu d’autre obsession que celle de s’évader. Son récit, réalisé à partir des témoignages du « vrai » Tomas et de ses codétenus, nous entraîne vers les confins de l’expérience humaine, en des temps où les lois de la guerre et du terrorisme élargissent toujours davantage le champ de l’horreur.