Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Le 29 mai 2018, Jean-Luc Romero-Michel, alors en déplacement, est alerté par un ami : son mari, Christophe, a disparu. Attendu au matin sur un salon dans le cadre de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité dont il est le secrétaire général, il ne s’est pas présenté et ne répond pas au téléphone. Ce n’est que quelques heures plus tard que, convoqué au commissariat, Jean-Luc apprendra sa mort. Passé la brutalité et le choc inouïs de la nouvelle, il lui sera révélé les circonstances de son décès, survenu lors d’une prise mortelle de drogues de synthèse. Pour Jean-Luc, c’est la stupeur, mêlée à un chagrin et une douleur sans nom. Comment accepter et survivre à l’inacceptable ?
Adressée à Christophe, cette lettre rédigée sous forme de journal est d’abord une histoire d’amour – un amour non conventionnel, qui s’impose peu à peu comme une évidence. Un amour fait de voyages, de passions, de combats communs et d’un mariage le 27 septembre 2013. Mais c’est aussi une histoire de deuil, de douleur et de résilience ; l’histoire d’un homme confronté à l’horreur et à l’indignité, qui pousse un cri d’alerte face au mutisme des pouvoirs publics sur l’explosion de ces drogues qui causent des ravages parmi les jeunes et dans le milieu de la nuit.