La condamnation de l'Action française, en 1926, a provoqué une crise majeure dans l'Église de France.
Cette condamnation a été interprétée par Maurras et l'Action française comme une condamnation politique tandis que les libéraux et les démocrates-chrétiens y ont vu une légitimation de leur opposition au mouvement monarchiste.
Yves Chiron, par une lecture critique, puis Émile Poulat par une étude inédite et qui va aux principes, montrent ce qui était en cause : la sécularisation du politique.