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Sexualität als Arbeit polarisiert. In Debatten um Sexarbeit verhandeln Gesellschaften Fragen rund um Moral, sexuelle Normen, Geschlechterverhältnisse und Migrationspolitik. Was in solchen Debatten selten zur Sprache kommt, sind die sozialen und ökonomischen Verhältnisse, in denen Frauen arbeiten, die mit Sex Geld verdienen. Sarah Baumann untersucht das Phänomen der Sexarbeit aus einer arbeits- und geschlechterhistorischen Perspektive. Dazu richtet sie den Blick auf die Schweiz in der zweiten Hälfte des 20. Jahrhundert und fragt danach, wie sich gesellschaftliche Debatten, behördliche Regulierungen und Praktiken rund um die Sexarbeit in urbanen Räumen gestalteten und veränderten. Sexarbeit, so zeigt die Studie, hatte aus Sicht der arbeitenden Frauen eine zentrale haushaltsökonomische Funktion, während politische Akteure sie als »notwendiges Übel« gleichzeitig essentialisierten und kriminalisierten. Die sogenannte sexuelle Liberalisierung brachte den Frauen nur bedingt mehr Freiheiten, vielmehr festigte sie das Narrativ der Sexarbeiterin als selbstverantwortliches Marktsubjekt. Sexuelle Tabus fielen, doch Frauen in der Sexarbeit blieben unsichtbar und prekarisiert.