Je ne pus m'empêcher de traduire le
charme de cet engouement magique qu'en
me livrant délibérément à une double
lecture : celle, la plus exacte possible, de
la ville elle-même, objet de mon étude -
Shanghai/Yangtze -, et celle de cette même
ville, mais considérée au prisme calvinien
de mille autres, comme à travers la
multiple splendeur et la féerie ensorceleuse
d'un conte philosophique persan : avec
Shéhérazade jusqu'au bout de la Route de
la Soie !
Je me mis ainsi à ourler d'exergues
chapitre après chapitre, invitant
régulièrement le lecteur curieux à goûter
ce que le rêve peut dire encore à propos de
la plate réalité de nos vacations !
J'avançai ainsi dans le pays de mille et
une villes... qui toutes avaient pour nom,
Shanghai...