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Pour entrer dans le XXIe siècle, le parallèle s'impose avec le XVIe siècle : c'était le début de la modernité, nous sommes dans la postmodernité. De Grünewald à Francis Bacon, de Gutenberg à Bill Gates, autant de ruptures marquées par de terribles convulsions, guerres et massacres, mais aussi par d'immenses transformations techniques, sociales et intellectuelles. Aujourd'hui comme hier, il y va du destin de l'homme tout autant que de celui de l'Europe. Dans notre histoire laïcisée, la science a pris le relais de la religion, mais on n'y fait plus son salut : la civilisation de l'éphémère où tout est jetable, y compris le travail, ne peut répondre à la soif de transcendance. Et le mythe de l'homme digital, neuronal et bionique se heurte à la réalité des risques nés du développement même de la science - des arsenaux atomiques au réchauffement du climat, des poubelles nucléaires aux plantes transgéniques, des pièges policiers de l'informatique aux pratiques eugénistes du clonage humain. Fin d'une époque, mais non pas fin de l'histoire : il faut affronter un monde nouveau, sans les mirages distillés par l'idéologie du progrès. Survivre à la science, c'est reconnaître qu'elle ne fait pas de nous des dieux : le principe de précaution réintroduit le sens de l'humanisme dans la postmodernité. Demain, la Renaissance...