Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
As a kid growing up in Queens, Mike Feder identified with Scheherazade of The Thousand and One Nights: "The idea of someone having to tell a new tale every night to prevent their head getting chopped off seemed sadly familiar to me." Back then, the author's audience was his mentally ill mother, who used to stay in the house all day with the shades drawn, and then insist that her son tell her stories so that she might vicariously experience the world outside. Eventually she committed suicide, and Feder grew up to be a relentless, comic storyteller on the radio. The Talking Cure tells the story of his ridiculous jobs, first failed marriage, the string of psychiatrists, and the misery of reluctant fatherhood; throughout he maintains a kind of bizarre balancing act--hilariousness and deep seriousness, conventionality and strangeness. An ironist and a comic, Feder looks unflinchingly at his own foibles and frailties, enabling him to connect to other people's stories. The reader emerges from this book with a sense of forgiveness for the human condition, and awe at the mystery of human life. Deeply funny, and at the same time breathtakingly dark, this is a book to provoke, amuse and, in some strange way, reassure: God loves a challenge.