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El nuevo esclavismo. Pasarse la vida trabajando en algo totalmente innecesario. Un trabajo de mierda. ¿Su trabajo tiene algún sentido para la sociedad? En la primavera de 2013, David Graeber hizo esta pregunta en un ensayo lúdico y provocativo titulado «Sobre el fenómeno de los trabajos de mierda». El artículo se volvió viral. Después de un millón de visitas en línea en diecisiete idiomas diferentes, la gente sigue debatiendo la respuesta. Hay millones de personas: consultores de recursos humanos, coordinadores de comunicación, investigadores de telemarketing, abogados corporativos?, cuyos trabajos son inútiles, y ellos lo saben. Estas personas están atrapadas en unos trabajos de mierda. Olvide a Piketty o Marx; es Graeber, uno de los antropólogos y activistas más influyentes del momento, quien dice alto y claro que muchas de las tareas que se realizan en una economía de esclavos asalariados son una forma de empleo tan carente de sentido, tan innecesaria o tan perniciosa que ni siquiera el propio trabajador es capaz de justificar su existencia, y pese a ello se siente obligado a fingir que no es así. La crítica social que persigue el libro es sólida y aguda, especialmente cuando introduce categorías tan refinadas como los «trabajos chapuza», que realizan determinados empleados para, por ejemplo, mantener en funcionamiento máquinas viejas y ahorrarle a la empresa la compra de nueva maquinaria. No deja de tener su lógica, ya que, como dijo Orwell, «una población que está ocupada trabajando, aunque sea en tareas totalmente inútiles, no tiene tiempo para hacer mucho más». De ahí que, como concluye Graeber, lo que tengamos sea una mierda permanente.