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In ‘Verdriet en boterkoek’ vertelt Margalith Kleijwegt over hoe verschillende generaties binnen haar familie omgaan met de Joodse identiteit. Haar moeder, documentairemaakster Netty Rosenfeld, was Joods opgevoed, had ondergedoken gezeten en worstelde met haar beladen verleden. De oorlog had ze ‘van zich afgevochten’, het Joods-zijn beschouwde zij vooral als een last. Voor Kleijwegt was die gespleten houding ingewikkeld. Ze voelde de zwaarte van dat verleden, haar eeuwige gevecht met het Jodendom en wist niet altijd hoe daarop te reageren. ‘Mam, mag ik mijn keppeltje al op?’ vroeg haar achtjarige zoon lang voordat de seideravond zou beginnen. Zo’n blijmoedige associatie met het Jodendom verraste en ontroerde Kleijwegt. Diezelfde onbekommerde houding zag ze bij de kinderen van haar broer, en bij de kleinkinderen van haar neef Jaap die in de oorlog als klein jongetje ondergedoken had gezeten. Geen ongemak meer, maar trots.
Kleijwegt vertelt in een intiem familieverhaal hoe drie generaties met dat verleden, ‘die shit van jullie’, omgaan.