Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Mein Großvater Theodor Andresen (1894-1949) erlebte seine Kindheit im abseits gelegenen Dorf Ulsnis an der Schlei in Schleswig-Holstein, besuchte hier den Unterricht bei seinem Vater, bevor er 1907 auf die Domschule nach Schleswig kam. Hier trieben es die Pennäler noch schlimmer als in der "Feuerzangenbowle." Seine anschließenden Jahre in Flensburg auf der Oberrealschule prägen Kunst und Eros. Erst im zweiten Anlauf besteht er 1913 die Reifeprüfung. Noch während der Ausbildung in der Kunstgewerbeschule bricht der Erste Weltkrieg herein. Alles andere als ein Mustersoldat kommt er zur Ausbildung ins Barackenlager Döberitz Berlin. Nach der Musterung durch den Kaiser rückt die Gardeinfanterie aus. In der Schlacht bei den Masurischen Seen im Februar 1915 stapft er durch den Schnee. "Der deutsche Kaiser bezahlt Deine Kuh...", so schreiben deutsche Soldaten auf einen Zettel, den sie einer klagenden russischen Bäuerin in die Hand drücken. Nicht zu ertragen sind die Strapazen in der grimmigen Kälte. Theos Hände und Füße erfrieren. Ein langer Lazarettaufenthalt in Magdeburg folgt, bis er schließlich als untauglich entlassen wird. "Nie wieder Krieg" lautet sein Fazit