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De septembre 1973 à juin 1980, Annie Chemla nous livre le journal d’une militante du Mlac (Mouvement pour la liberté de l’avortement et de la contraception), qui, même après la loi Veil dépénalisant l’avortement en janvier 1975, continue la lutte. Majoritairement autodidactes, épaulées par des médecins, ces femmes révolutionnent la pratique de l’avortement en diffusant en France la méthode par aspiration (dite Karman) et apportent une solution à de nombreuses femmes en détresse. D’abord face à une législation qui interdit l’avortement, puis pour répondre aux carences de la loi Veil, elles s’organisent, s’entraident et reprennent le pouvoir sur leur corps et leur destin. Cette démarche, qui veut changer les choses concrètement, choisit l’illégalité mais refuse la clandestinité. C’est le récit d’une anonyme parmi tant d’autres qui firent partie d’un groupe local du Mlac. Plus que jamais d’actualité, il nous raconte l’esprit d’une époque où, comme aujourd’hui, les jeunes féministes bouillonnent d’idées, de désirs et de débats et où l’on veut « faire soi-même, faire ensemble, mais toujours : faire ». C’est le récit, intime et politique, d’une libération dans le plaisir d’être ensemble, d’une joie militante.